Etude des stratégies de mise en œuvre de la CITES dans le biome saharien du Niger : cas de la Rèserve de Biosphère de Gadabédji
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Editorial
Resumen
Trabajo Fin de Máster Propio. Tutores: Dr. Amadou Oumani Abdoulaye ; Ali Laouel Abbagana. Le Niger, dans le souci de mieux contrôler le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages en danger ou menacées d’extinction la CITES. Après une quarantaine d’année, il semble important d’évaluer l’efficacité de la mise en oeuvre de cette convention. D’où l’intérêt de la présente étude qui s’est focalisée sur le biome saharien cas de la réserve de biosphère de Gadabédji. Cette évaluation s’est faite à travers des enquêtes auprès des différents acteurs locaux de mise en oeuvre de la convention. Il ressort de ce travail une méconnaissance notoire de la convention ainsi que de ses organes au niveau national (organe de gestion et autorité scientifique) par les acteurs locaux, qui ignorent dans la majorité des cas le domaine d’intervention, les services concernés ainsi que les procédures de la convention. L’étude a aussi mis en lumière une absence de coordination entre les différentes structures de contrôle dans cette zone. La faune et la flore de cette zone comme l’ont souligné les personnes interrogées, subissent des pressions telles que la coupe abusive du bois, le braconnage, le surpâturage, les feux de brousse, la dégradation de l’habitat et la sécheresse. Cet état de fait a conduit à une perte de la biodiversité tant animale que végétale. Il est donc important de renforcer les capacités des agents et leur donner les moyens nécessaires pour mener à bien leurs activités dans la zone et aux niveaux des postes frontaliers.
Trabajo Fin de Máster Propio. Tutores: Dr. Amadou Oumani Abdoulaye ; Ali Laouel Abbagana. Le Niger, dans le souci de mieux contrôler le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages en danger ou menacées d’extinction la CITES. Après une quarantaine d’année, il semble important d’évaluer l’efficacité de la mise en oeuvre de cette convention. D’où l’intérêt de la présente étude qui s’est focalisée sur le biome saharien cas de la réserve de biosphère de Gadabédji. Cette évaluation s’est faite à travers des enquêtes auprès des différents acteurs locaux de mise en oeuvre de la convention. Il ressort de ce travail une méconnaissance notoire de la convention ainsi que de ses organes au niveau national (organe de gestion et autorité scientifique) par les acteurs locaux, qui ignorent dans la majorité des cas le domaine d’intervention, les services concernés ainsi que les procédures de la convention. L’étude a aussi mis en lumière une absence de coordination entre les différentes structures de contrôle dans cette zone. La faune et la flore de cette zone comme l’ont souligné les personnes interrogées, subissent des pressions telles que la coupe abusive du bois, le braconnage, le surpâturage, les feux de brousse, la dégradation de l’habitat et la sécheresse. Cet état de fait a conduit à une perte de la biodiversité tant animale que végétale. Il est donc important de renforcer les capacités des agents et leur donner les moyens nécessaires pour mener à bien leurs activités dans la zone et aux niveaux des postes frontaliers.