CITES Convención sobre el Comercio Internacional de Especies Amenazadas de Fauna y Flora Silvestres
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Browsing CITES Convención sobre el Comercio Internacional de Especies Amenazadas de Fauna y Flora Silvestres by Subject "Aeropuertos"
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Trabajo académicoEtude diagnostique et perspectives d’amélioration du système de Contrôle des espèces protégées par la CITES dans les ports et aéroports de Côte d’Ivoire(Universidad Internacional de Andalucía, 2019) Gbomene, Lohoué Lucas; Gbomene, Lohoué LucasTrabajo Fin de Máster Propio. Tutores: Irié Casimir Zo-Bi ; Michael Balinga. L’étude a eu pour objectif de faire le lien entre la performance en matière de lutte contre le trafic des produits CITES en Côte d’Ivoire et l’efficacité des dispositifs de prévention mise en place dans principaux ports aériens et maritimes de la Cote d’Ivoire. Les enquêtes menées sur le terrain révèlent que sept (07) structures sont impliquées dans le contrôle des produits CITES. Malgré cette forte implication, le contrôle au niveau national montre de réelles insuffisances. Car, pour la période de 2013 à 2018, plus de 4,78 T d'ivoire, provenant de la Côte d'Ivoire, ont été saisies à l'international contre seulement 0,68 T dans les ports et aéroports nationaux. Les enquêtes ont aussi porté sur la connaissance de la CITES, le nombre d’agents par poste de contrôle, la collaboration entre les services de contrôle, l’existence des dispositifs de contrôle des produits CITES et l’accès des agents CITES à ces matériels de contrôle. Concernant les connaissances des notions de la CITES, hormis les forestiers, les agents des services phytosanitaires et les services vétérinaires qui ont une connaissance des notions CITES allant de 80% à 100 %, les autres services de contrôles ont une connaissance limitée des notions CITES. Les agents de police (34%) et de douane (24%) tandis que ceux de la gendarmerie, de SODEXAM (Société d'exploitation de développement aéroportuaire aéronautique météo) et d’Avisecure n’ont aucune connaissance des notions CITES (0%). Toutes les structures enquêtées manquent cruellement d’effectif. Ce déficit de personnel fait que certains postes de contrôle sont négligés au profit d’autres postes jugés plus importants. Il n’existe pas une franche collaboration entre les structures qui interviennent sur les plateformes portuaires et aéroportuaires. Chaque structure effectue ses contrôles sans se soucier des autres produits qui ne relèvent pas directement de ses prérogatives. Plusieurs dispositifs de contrôle existent sur les plateformes portuaires et aéroportuaires. Ces dispositifs de contrôles sont dotés pour la plupart de scanners CT/RX, de scanners conventionnels (Hors Gabarit), de portiques (détecteur de tout ce qui est métaux) et de snifer pour les explosifs. Tous ces matériels de contrôles sont à la disposition de la structure Avisecure qui refuse leur accès aux structures étatiques.
Trabajo académicoEvaluation de l'efficacite de controle des documents cites et des saisies au niveau des postes de controle forestier et faunique frontalier du Cameroun : cas des aéroports internationaux et des ports maritimes(Universidad Internacional de Andalucía, 2023) Vounserbo, Emmanuel; Vounserbo, EmmanuelTrabajo Fin de Máster Propio. Tutor: Dr. Dº. Emmanuel Danboya. La présente étude s’est déroulée de novembre 2022 à Avril 2023. Les principaux objectifs étaient de faire l’état des lieux des saisies pendant les cinq (05) dernières années dans les postes de contrôle aéroportuaire, fluviale et terrestre au Cameroun ; d’évaluer le niveau de connaissance des agents commis au contrôle sur la CITES et l’identification des espèces CITES ; d’évaluer la logistique disponibles et l’efficacité du dispositif au niveau des postes de contrôle et de proposer des solutions efficaces. La méthodologie adoptée était basée sur les enquêtes et les entretiens auprès des agents commis au contrôle. Après analyse des données, il ressort que 32,56% de saisies ont été faites dans les aéroports, 13,96% de saisies aux frontières terrestres, 34,88% de saisies à l’intérieur du pays et seulement 4,65% de saisies ont été faites dans les ports maritimes. Les espèces les plus saisies sont le Manis spp (Pangolin) avec 2089 kg saisies, suivi de Loxodonta africana (Eléphants) avec 1641 kg saisies. Les spécimens saisis proviennent principalement du Cameroun, du Gabon, du Nigéria et de la RCA. Ces produit saisis avaient pour destination la Chine, le Cameroun, l’Ethiopie, la France, le Nigéria et la Suède. Concernant la connaissance de la CITES, hormis les Eaux et forêts qui ont une connaissance plus ou moins moyenne de la CITES les autres administrations tel que la police ont une connaissance limitée de la CITES. Malgré la forte volonté du Gouvernement camerounais à lutter contre le commerce illicite des espèces sauvages, le contrôle au niveau national montre de réelles insuffisances. La logistique reste un grand défi pour la mise en œuvre de la CITES par les structures en charge de son application. La fouille manuelle reste le seul moyen pour les autres agents pour détecter les objets de contrebande. Pour garantir l’efficacité du contrôle des documents CITES et accroître les saisies au niveau des postes de contrôle, l’on devrait prendre en compte la formation des acteurs impliquées dans la mise en application de la CITES autant que leur recyclage à une meilleure utilisation de tous les textes en la matière et les dotés d’une logistique efficace et adaptée au contrôle des espèces de la faune sauvage.
