Avis de commerce non prejudiciable, un atout mejeur pour le developpement et le suivi des speces menacees au Gabon : cas du "Guibourtia tessmannii"
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Editorial
Resumen
Trabajo Fin de Máster Propio. Tutores: Alfred Ngomanda ; Dr. Donald Midoko Iponga. Le Gabon regorge cinq espèces de Kévazingo (Guibourtia) à savoir : Guibourtia demeusei (Harms) J.Léonard, Guibourtia tessmannii (Harms) J.Léonard, Guibourtia pellegriniana J.Léonard, Guibourtia ehie (A.Chev.) J.Léonard, et Guibourtia arnoldiana. Des questions en rapport avec la surexploitation des espèces du genre Guibourtia ont été relevées ces 10 dernières années. Des quantités importantes des produits à base de trois espèces de Guibourtia à savoir le Guibourtia demeusei, le Guibourtia tessmannii et le Guibourtia pellegriniana ont été exportées en Asie et en Europe. A cause de leur forte valeur sur le marché international, un trafic illicite avéré sur les espèces appelées communément Kévazingo (G.tessmanii et G. pellegriniana) a conduit le gouvernement gabonais à la prise d’une série de mesures ayant abouti à l’inscription en annexe II de la CITES. Ces travaux qui aboutissent à la formulation d’une proposition d’un avis de commerce non préjudiciable pour le G. tessmanii constituent une étape fondamentale pour une commercialisation suivie et maitrisée par le gouvernement gabonais. Mais le problème de la connaissance de nos ressources par le billet des études scientifiques demeure. Sur un total de 74 concessions forestières choisies sur la terre ferme et correspondant à une partie de l’aire de distribution du G. tessmanii séparé de l’aire de distribution de G. peligriniana, seules les données de 15 concessions ont permis d’aboutir aux calculs des quotas annuels. Pour le reste des concessions, il faudra poursuivre la collecte des informations nécessaires. Il ressort pour ces quinze concessions, un quota annuel moyen de 924, 387046 m3.
Trabajo Fin de Máster Propio. Tutores: Alfred Ngomanda ; Dr. Donald Midoko Iponga. Le Gabon regorge cinq espèces de Kévazingo (Guibourtia) à savoir : Guibourtia demeusei (Harms) J.Léonard, Guibourtia tessmannii (Harms) J.Léonard, Guibourtia pellegriniana J.Léonard, Guibourtia ehie (A.Chev.) J.Léonard, et Guibourtia arnoldiana. Des questions en rapport avec la surexploitation des espèces du genre Guibourtia ont été relevées ces 10 dernières années. Des quantités importantes des produits à base de trois espèces de Guibourtia à savoir le Guibourtia demeusei, le Guibourtia tessmannii et le Guibourtia pellegriniana ont été exportées en Asie et en Europe. A cause de leur forte valeur sur le marché international, un trafic illicite avéré sur les espèces appelées communément Kévazingo (G.tessmanii et G. pellegriniana) a conduit le gouvernement gabonais à la prise d’une série de mesures ayant abouti à l’inscription en annexe II de la CITES. Ces travaux qui aboutissent à la formulation d’une proposition d’un avis de commerce non préjudiciable pour le G. tessmanii constituent une étape fondamentale pour une commercialisation suivie et maitrisée par le gouvernement gabonais. Mais le problème de la connaissance de nos ressources par le billet des études scientifiques demeure. Sur un total de 74 concessions forestières choisies sur la terre ferme et correspondant à une partie de l’aire de distribution du G. tessmanii séparé de l’aire de distribution de G. peligriniana, seules les données de 15 concessions ont permis d’aboutir aux calculs des quotas annuels. Pour le reste des concessions, il faudra poursuivre la collecte des informations nécessaires. Il ressort pour ces quinze concessions, un quota annuel moyen de 924, 387046 m3.